Mon oncle pleurait et implorait. Ma rancoeur se dissipa en bonne humeur. Je repensais à la scène de Manon des sources où Hugolin supplie de pardonner. Comme un autre souvenir me travaillait parallèlement, j'entonnais joyeusement : "Ne me quitte pas."
Confiant en ma gaieté soudaine, mon oncle ouvrit la cage de ses bras.
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